Nous avons repris de pied ferme le chemin de Rome (facile, ils y mènent tous) aidé par le Métro Antique. Toujours de belles places, un italien coince la bulle …
Rome
Objectif : le Vatican .
Nous avions prévenu François de notre venue, il a préféré aller se promener en Palestine, tant pis pour lui !
Arrivés place St Pierre, une immense file pour visiter l’église : on doit passer un à un le portique électronique et radiographier les sacs !
Même quand il n’est pas là, il est bien protégé.
On a le temps d’admirer la place…
La 1ére pierre de la basilique a été posée en 324, elle a été revue et corrigée à partir du XVème jusqu’au XVIIème, en particulier par un certain Michel Ange (nous lui devons la coupole).
Encore frais, nous décidons de visiter la coupole. 5 ou 7€ pour monter, c’est la seule visite que nous payerons à Rome. Mais l’église est pauvre…
Un couloir très large qui tourne autour de l’ascenseur nous mène sur un couloir circulaire qui domine la coupole à l’intérieur.
Très belle vue sur le Dôme, par contre on voit la nef et le transept à travers un grillage très serré : on pourrait mieux faire !
Un escalier de plus en plus étroit et penché nous conduit au dernier en colimaçon très serré jusqu’au sommet: la vue sur Rome est magnifique à 360°, mais il faut se battre un peu car la place est comptée.
Rome vue d'en haut
En redescendant, je ne retrouve plus ma moitié !!!
Panique, car l’église est grande et la foule assez dense, elle n’a ni argent, ni papiers...
En tournant à sa recherche, quelques photos de la basilique.
Basilique St Pierre
Une bonne ½ heure plus tard, on se enfin retrouve à la sortie, près des gardes suisses : un miracle, merci St Pierre !
Le temps a passé vite, sur le retour nous faisons une halte au Castel Sant Angelo.
C’était au départ le mausolée de l’empereur Hadrien (135 de notre ère), Grégoire le grand bâtit une chapelle au dessus (VIème).
Au XVème, suite à une épidémie de peste, un ange apparut remettant son épée au fourreau signifiant la fin de l’épidémie: Nicolas V rajouta un étage de brique et des donjons en remerciement.
Plus tard, un appartement pontifical somptueux et raffiné fut édifié par Clément VII, encore embelli par Paul III.
De la terrasse immense, on embrasse toute la ville de Rome : magnifique !
Il faut maintenant repartir de la ville éternelle…
C’est trop court, il reste tellement à voir ! Mais nous reviendrons, si Dieu le veut