Après un repos bien mérité à coté d’Agadir (eh oui, c’est dur les vacances !) nous y sommes retournés sans être plus convaincus qu’à l’aller : comme ils disent sur place : « Agadir, rien à dire ». Par contre, la plage, une légère brise, le soleil que l’on a emmagasiné pour affronter le mauvais temps futur : le rêve. Mais tout les bonnes choses ont une fin et nous sommes repartis à Essaouira. Et là, c’est toujours aussi magique.
Nous sommes juste arrivés pour voir le soleil enflammer la mer et repartis faire les boutiques. D’abord, les objets en thuya (tronc et racine) marquetés avec du citronnier, de l’ébène, de la nacre d’ormeau. Puis les lampes et appliques en fer ou en cuivre ajouré, les babouches et, forcément, on retombe sur le thuya…
Dans une rue parallèle, les commerces sont plus alimentaires : des fruits secs (dates, amandes, arachides) des dates, figues. Plus loin, les olives et citrons confits, les herbes (menthe, coriandre, persil), les fraises (excellentes), les petits pains ronds (délicieux). Et forcément, on retombe sur le thuya… plus loin, les cuirs.
En continuant, des vêtements sous les arcades, puis nous nous sommes perdus dans les ruelles près des fortifications. Là, on trouve des portes magnifiques sur des maisons miteuses et des passages souterrains qui souvent ne mènent nulle part. Heureusement, les rares passants ont réussi à nous ramener dans le droit chemin.
Essaouira, une ville à voir le jour, mais surtout la nuit ou l’animation est intense.
Prochaine étape, Casablanca : la mosquée Hassan II